Un US Open sans tenant du titre ni favori...
Difficile,
voire impossible, de désigner un favori pour le quatrième tournoi du
Grand Chelem qui débute lundi dans la fournaise new-yorkaise. Miser sur un futur vainqueur à Flushing Meadows, c'est comme te pointer à ton premier rendez-vous Tinder en pensant choper la femme de ta vie, t'as quand même de grandes chances de te planter ! Avant
cette triste finale à Montréal, on aurait évidemment posé une
énorme pièce sur notre Rodgeur national. Mais voilà, le Maître a
terminé cette rencontre en roue libre et a ensuite déclaré forfait
pour Cincinnati, son dos le faisant à nouveau souffrir. Selon ses
dires, il est prêt à attaquer cet US Open à 100% de ses possibilités mais, du haut de ses 36
ans, il n'est pas à l'abri d'une rechute durant la quinzaine. Comme à Wimbledon, la
prudence est donc de mise avec – on l'espère – le même résultat...
Sur le papier, Rafael Nadal est numéro 1 mondial et aurait dû logiquement se présenter comme le grand favori. Mais voilà (bis), depuis son hallucinante moisson de titres sur terre battue, la Momie n'y arrive plus. Eliminé avant les quarts de finale à Church Road, le taureau des Baléares n'a pas réussi à gagner plus de deux matches de suite durant cette campagne américaine. Nul doute qu'il aurait préféré revenir sur le trône avec un peu plus de panache... Popeye est-il capable de gagner sept matches consécutifs sur dur ? Ses genoux et son médecin nous le diront...
Si l'on respecte la hiérarchie, le troisième ""favori"" est Andy Murray, dont le moral doit naviguer entre celui de Samy Naceri et Fabio Celestini en ce moment. L'Ecossais au sourire de croque-mort abordera ce Majeur sans le moindre match dans les jambes depuis son couac au All England Club. A moins d'un étonnant regain de forme, ce qui semble aussi probable qu'une victoire du Lausanne-Sport à la Pontaise, son tournoi devrait être aussi brillant que la campagne de transferts du club vaudois...
Sans Novak Djokovic ni Stan Wawrinka, les deux finalistes de l'an dernier, cette édition 2017 s'annonce donc plus ouverte que jamais. Vu qu'il n'y aura pas non plus Nishikori et Raonic (et éventuellement Cilic ?), un jeune aux dents longues pourrait se mêler à la bagarre. On pense bien entendu à Alexander Zverev et Gregor Dimitrov, respectivement lauréats des Masters 1000 de Montréal et Cincinnati. Ces deux-là sont pour l'instant les hommes forts de cette tournée nord-américaine et auraient tort de ne pas y croire, à l'instar d'un Kyrgios, d'un Thiem, d'un Berdych, d'un Querrey ou d'un Isner, même si ces derniers me paraissent un poil légers quand même.
Bref, tous les rêves seront permis à Big Apple, y compris celui dont fantasment toute une nation et des millions de fans à travers le monde : le vingtième Majeur du Rodg et un Petit Chelem après six mois d'absence ! Ce serait une "blague" pour reprendre ses termes, autant dire qu'on est prêts à rire les amis...
Sur le papier, Rafael Nadal est numéro 1 mondial et aurait dû logiquement se présenter comme le grand favori. Mais voilà (bis), depuis son hallucinante moisson de titres sur terre battue, la Momie n'y arrive plus. Eliminé avant les quarts de finale à Church Road, le taureau des Baléares n'a pas réussi à gagner plus de deux matches de suite durant cette campagne américaine. Nul doute qu'il aurait préféré revenir sur le trône avec un peu plus de panache... Popeye est-il capable de gagner sept matches consécutifs sur dur ? Ses genoux et son médecin nous le diront...
Si l'on respecte la hiérarchie, le troisième ""favori"" est Andy Murray, dont le moral doit naviguer entre celui de Samy Naceri et Fabio Celestini en ce moment. L'Ecossais au sourire de croque-mort abordera ce Majeur sans le moindre match dans les jambes depuis son couac au All England Club. A moins d'un étonnant regain de forme, ce qui semble aussi probable qu'une victoire du Lausanne-Sport à la Pontaise, son tournoi devrait être aussi brillant que la campagne de transferts du club vaudois...
Sans Novak Djokovic ni Stan Wawrinka, les deux finalistes de l'an dernier, cette édition 2017 s'annonce donc plus ouverte que jamais. Vu qu'il n'y aura pas non plus Nishikori et Raonic (et éventuellement Cilic ?), un jeune aux dents longues pourrait se mêler à la bagarre. On pense bien entendu à Alexander Zverev et Gregor Dimitrov, respectivement lauréats des Masters 1000 de Montréal et Cincinnati. Ces deux-là sont pour l'instant les hommes forts de cette tournée nord-américaine et auraient tort de ne pas y croire, à l'instar d'un Kyrgios, d'un Thiem, d'un Berdych, d'un Querrey ou d'un Isner, même si ces derniers me paraissent un poil légers quand même.
Bref, tous les rêves seront permis à Big Apple, y compris celui dont fantasment toute une nation et des millions de fans à travers le monde : le vingtième Majeur du Rodg et un Petit Chelem après six mois d'absence ! Ce serait une "blague" pour reprendre ses termes, autant dire qu'on est prêts à rire les amis...
5 Comments:
"(...) Andy Murray, dont le moral doit naviguer entre celui de Samy Naceri et Fabio Celestini en ce moment."
Trop bon, trop bon!!
KUMM JETZT ROGER!
Andy Murray forfait....
5 sets et une belle frayeur!
5 sets et un beau vainqueur!
Bravo Rodgeur! Mais Tiafoe a été énormissime! À 19 ans, ça promet!
Zverev Kyrgios out, Tsonga Gasquet aussi, Roger en 5 sets, que se passe-t-il?
Bizarre cet USOpen, tu ne trouves pas Marc? Tout comme les matches de Roger...
Enregistrer un commentaire
<< Home