Djokovic un peu plus dans la légende
A une semaine de l’US Open, le sosie de Joe Dalton a frappé un grand coup sur les courts de l’Ohio : il s’offre pour la première fois le tournoi de Cincinnati et devient le premier tennisman de l’histoire à gagner les neuf Masters 1000. Une performance XXL qui ni Federer ni Nadal n’ont réussi à accomplir, eux qui restent désespérément bloqués à sept. Il manque Monte-Carlo et Rome au Maître tandis que Musclor n’a jamais soulevé les trophées de Key Biscayne et Paris-Bercy. Désormais, seul l’or olympique manque au coton-tige, lui qui détient déjà les quatre levées du Grand Chelem, le Masters de fin d’année ainsi que la feu Coupe Davis… Respect.
Cet été 2018 marque donc le réveil de l’ex-numéro un mondial et terreur du circuit. Une résurrection qui porte bien sûr la griffe de Marian Vajda, son coach de toujours. Depuis le retour de son mentor en avril, le Serbe n’en finit plus de monter en puissance, ce qui est tout sauf une surprise quand on connaît la complicité qui lie les deux hommes. Après avoir touché le fond en faisant appel à André Agassi et… Radek Stepanek pour relancer sa carrière, Djokobite ne pouvait qu’aller mieux. Non mais franchement, engager le duo Agassi – Stepanek quand tu t’appelles Novak Djokovic, c’est comme si le Real Madrid embauchait Gilbert Gress et Rolf Fringer pour remplacer Zidane ! Ou enrôler Kim Kardashian et Dan Bilzerian pour soigner ton addiction aux réseaux sociaux... Bref, l’homme aux 13 Majeurs a fait plus ou moins n’importe quoi depuis son sacre à la Porte d’Auteuil en 2016, on ne peut que le féliciter d’avoir retrouvé un brin de lucidité et de raison.
De son côté, Rodgeur n’a pas rassuré et abordera la dernière levée du Grand Chelem avec quelques doutes. Le Bâlois a paru très loin de son meilleur niveau en finale et a globalement déçu par son jeu. Il m’a également déçu par son attitude cette semaine, lui qui a déclaré «être triste de la réforme de la Coupe Davis» sitôt la nouvelle annoncée. C’est vraiment très con et extrêmement regrettable que le Maître ait pris la parole au lendemain de cette décision ! Pourquoi n’est-il pas monté aux barricades en mars ? Pourquoi n’a-t-il pas utilisé son aura pour influencer le vote des fédérations ? Quel gâchis… un peu comme le mec qui dit «je t’aime» à son ex-femme le lendemain du divorce ou l’autre qui se rend compte d’être un éjaculateur précoce après s’être lancé dans une carrière dans le porno…
Voilà les amis, on se réjouit désormais de suivre cet US Open 2018 qui promet d’être très ouvert et qui pourrait, selon les caprices du tirage au sort, nous réserver des affiches de dingue dès les premiers coups de raquette. Nadal, Federer et Djokovic ne sont ainsi pas à l’abri d’affronter un Wawrinka ou un Murray au premier tour alors qu’on pourrait assister à un quart de finale entre Nadal et Djokovic ou Federer et Djokovic. Bref, avec un cul inversement proportionnel à celui de Didier Deschamps, le Maître pourrait très bien se coltiner Murray au troisième tour, Wawrinka en huitième et Djokovic en quart. Prions pour que ce ne soit pas le cas !
Cet été 2018 marque donc le réveil de l’ex-numéro un mondial et terreur du circuit. Une résurrection qui porte bien sûr la griffe de Marian Vajda, son coach de toujours. Depuis le retour de son mentor en avril, le Serbe n’en finit plus de monter en puissance, ce qui est tout sauf une surprise quand on connaît la complicité qui lie les deux hommes. Après avoir touché le fond en faisant appel à André Agassi et… Radek Stepanek pour relancer sa carrière, Djokobite ne pouvait qu’aller mieux. Non mais franchement, engager le duo Agassi – Stepanek quand tu t’appelles Novak Djokovic, c’est comme si le Real Madrid embauchait Gilbert Gress et Rolf Fringer pour remplacer Zidane ! Ou enrôler Kim Kardashian et Dan Bilzerian pour soigner ton addiction aux réseaux sociaux... Bref, l’homme aux 13 Majeurs a fait plus ou moins n’importe quoi depuis son sacre à la Porte d’Auteuil en 2016, on ne peut que le féliciter d’avoir retrouvé un brin de lucidité et de raison.
De son côté, Rodgeur n’a pas rassuré et abordera la dernière levée du Grand Chelem avec quelques doutes. Le Bâlois a paru très loin de son meilleur niveau en finale et a globalement déçu par son jeu. Il m’a également déçu par son attitude cette semaine, lui qui a déclaré «être triste de la réforme de la Coupe Davis» sitôt la nouvelle annoncée. C’est vraiment très con et extrêmement regrettable que le Maître ait pris la parole au lendemain de cette décision ! Pourquoi n’est-il pas monté aux barricades en mars ? Pourquoi n’a-t-il pas utilisé son aura pour influencer le vote des fédérations ? Quel gâchis… un peu comme le mec qui dit «je t’aime» à son ex-femme le lendemain du divorce ou l’autre qui se rend compte d’être un éjaculateur précoce après s’être lancé dans une carrière dans le porno…
Voilà les amis, on se réjouit désormais de suivre cet US Open 2018 qui promet d’être très ouvert et qui pourrait, selon les caprices du tirage au sort, nous réserver des affiches de dingue dès les premiers coups de raquette. Nadal, Federer et Djokovic ne sont ainsi pas à l’abri d’affronter un Wawrinka ou un Murray au premier tour alors qu’on pourrait assister à un quart de finale entre Nadal et Djokovic ou Federer et Djokovic. Bref, avec un cul inversement proportionnel à celui de Didier Deschamps, le Maître pourrait très bien se coltiner Murray au troisième tour, Wawrinka en huitième et Djokovic en quart. Prions pour que ce ne soit pas le cas !